L’échographie est une étape importante durant la grossesse. Réalisée par une sage-femme ou par un gynécologue-obstétricien, elle permet de suivre l’évolution du bébé. C’est aussi une pratique indispensable pour vérifier la santé de la maman et du petit et déceler d’éventuelles anomalies.
À l’origine, les échographies permettaient d’obtenir des images de l’intérieur de l’utérus en 2D. Mais avec l’évolution de la technologie, il est maintenant possible de visualiser des images du fœtus en 3D. L’échographie 3D n’est pas un passage obligatoire. Toutefois, les femmes enceintes devront effectuer au moins trois échographies de grossesse en 2D jusqu’au terme de leur grossesse. À cet effet, elles peuvent consulter le Dr Laurent Bidat pour une échographie à Saint-Germain-en-Laye.
Une échographie 3D, c’est quoi ?
L’échographie 3D repose sur le même système que l’échographie standard. L’appareil propage des ultrasons à l’intérieur du corps. Lorsqu’ils rencontreront des obstacles, ces derniers vont renvoyer des échos qui seront traduits en image.
Contrairement à une échographie de grossesse en 2D, l’échographie 3D permet d’obtenir des images plus nettes du bébé. Le gynécologue-obstétricien peut procéder à une échographie 3D de deux façons :
- Le mode « surfacing » qui est utilisé pour distinguer la surface du corps et les membres durant une échographie de grossesse fœtale
- Le monde transparent qui permet de distinguer ce qu’il y a à l’intérieur du corps
Quels sont les avantages d’une échographie 3D ?
L’échographie 3D permet au gynécologue-obstétricien de distinguer plus clairement les anomalies dont peut souffrir le fœtus. Les images en 3D du bébé permettent au praticien de réaliser un diagnostic précoce en cas de malformations telles que la fente labiale ou la palatine.
Par ailleurs, une échographie 3D est recommandée pour faire suite à une échographie diagnostique. C’est la procédure suivant une échographie de grossesse classique ayant permis de détecter d’éventuels problèmes d’ordre physiologique chez l’enfant. Plusieurs pathologies peuvent être décelées plus rapidement grâce à une échographie 3D telles que :
- Les craniosténoses
- Les malformations rachidiennes
- Les syndactylies
- Les malformations des organes génitaux externes
- Les anomalies cardiaques
Pour y parvenir, le praticien utilisera le mode volumique de l’appareil. Il est important de savoir que cette pratique ne présente aucun risque ni pour la mère ni pour son bébé. En effet, l’échographie 3D n’implique pas l’utilisation de rayons X.
Pour les femmes enceintes n’ayant pas encore trouvé de professionnel, le Dr Laurent Bidat, un gynécologue-obstétricien de renom, propose ce type de service dans son cabinet à Saint-Germain-en-Laye.
Quand réaliser une échographie 3D ?
Généralement, une échographie 3D doit être réalisée entre la 25 et la 35e semaine de grossesse. Avant ce délai, le fœtus ne s’est pas encore correctement formé. Ainsi, les images risquent d’être déstabilisantes et peuvent choquer certains parents. Au-delà de la 35e semaine, le bébé sera trop gros pour obtenir un bon rendu visuel.
À l’instar des trois échographies de grossesse obligatoire, l’échographie 3D n’est pas prise en charge par la sécurité sociale. Celle-ci est d’ailleurs assez onéreuse avec des coûts allant de 80 à 200 euros.
Échographie à Saint-Germain-en-Laye : pourquoi la 3D est une pratique qui ne doit pas être vulgarisée
Avant de prendre rendez-vous pour une échographie 3D, il est important d’avoir l’aval de son gynécologue-obstétricien. Cette pratique doit être réalisée à des fins strictement médicales pour ne pas exposer inutilement son bébé aux rayonnements ultrasons.