L’anxiété est une sensation un peu habituelle dans le monde stressé d’aujourd’hui. La plupart des gens ont déjà connu les palpitations inattendues, les mains qui transpirent et ce sentiment frustrant de crainte. Les individus comprennent naturellement le pouvoir que la peur exerce sur eux et peuvent souvent reconnaître quand la peur devient trop forte pour eux. On dit généralement que l’inquiétude déclenche des batailles abruptes avec l’anxiété, même dans les esprits les plus durs et les plus solides. Cela est dû au fait que l’anxiété touche tout le monde et qu’elle est aussi clairement spécifiée et aussi globale que le principe de la fatalité. Néanmoins, ce que beaucoup de gens ne semblent pas comprendre, c’est que la peur n’est pas le seul déclencheur d’une crise, même si elle joue toujours un rôle. Il existe des troubles, principalement d’ordre émotionnel, qui peuvent également provoquer une crise.
Que disent les statistiques ?
Étonnamment, les statistiques montrent que l’acné est un déclencheur efficace de stress et d’anxiété, en particulier chez les adolescents et les jeunes adultes. En fait, l’acné est considérée comme l’une des causes les plus fréquentes d’anxiété en France et dans certaines nations européennes. Les causes de cette réaction sont facilement perceptibles pour les adolescents eux-mêmes, mais peuvent souvent être insaisissables pour les adultes. L’adolescence est un âge où la croissance sociale et l’approbation par les pairs ont tendance à jouer un rôle important dans la psychologie des gens. L’acné et diverses autres infections cutanées peuvent devenir un obstacle à la réalisation des objectifs susmentionnés, les plaçant en porte-à-faux sur l’échelle sociale. Ce problème est considéré comme l’un des plus fréquents à l’origine de l’anxiété des adolescents, en dehors des circonstances concernant la famille immédiate.
Les éléments déclencheurs
Il est également reconnu que le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) déclenche le stress et l’anxiété, pour ne citer que quelques effets secondaires potentiels. C’est particulièrement vrai si l’objet de la fixation consiste à faire du mal à autrui ou à se faire faire du mal directement. Le fait de devoir éviter de se faire mal physiquement peut rendre une personne très nerveuse à l’idée de se retrouver dans un environnement qu’elle considère comme potentiellement dangereux. Il devrait être évident qu’un individu obsédé par l’idée d’infliger des malaises à d’autres personnes serait certainement nuisible dans n’importe quelle culture, même si cela entraîne généralement des conflits avec les mœurs culturelles avec lesquelles la personne a été élevée. Dans cette situation, le stress et l’anxiété découlent généralement du fait que le désir de faire souffrir existe, ce qui constitue une différence subtile entre ces personnes et les vrais sadiques.
Les problèmes de poids découlent généralement d’une peur et d’une anxiété infondées et sont généralement capables de générer suffisamment de ces dernières pour maintenir le cycle en cours. Néanmoins, dans de nombreux cas, la peur est à l’origine du problème, tout comme le stress des pairs et une mauvaise perception de soi, mais pas toujours parmi les problèmes mentaux potentiels.
Les angoisses peuvent également amener une personne à se sentir nerveuse et excessivement préoccupée, en particulier lorsqu’elle se trouve à proximité de l’objet de la phobie ou qu’elle est menacée par celui-ci. Selon certaines études, certaines peurs particulières sont beaucoup plus fiables que d’autres à cet égard, surtout si l’objet de l’anxiété est un incident, une personne ou un produit banal. Les cas où la phobie découle d’une expérience stressante au cours des années de développement sont également extrêmement efficaces pour créer chez un individu des sensations de détresse, même à long terme. On sait que l’agoraphobie et la claustrophobie ont ce genre d’effet sur certains individus.